mercredi 27 avril 2011

4 outils pour contrôler votre e-réputation sur Internet

Que dit-on de vous sur le web ? Savez-vous vraiment si votre activité est référencée ? Si vous utilisez Internet pour vous faire connaître, il est essentiel de contrôler votre réputation. Surtout si vous communiquez via les réseaux sociaux ou partagez des contenus. Sachez détecter à temps les éventuels plagiats ou les commentaires désobligeants... Découvrez 4 outils pour rendre cette veille automatique et facile.

Google : des alertes ciblées et programmables à volonté



Ce système d’alertes est devenu l’un des plus puissants outils de veille sur le web. Rien ne vous empêche de créer en plus de vos alertes consacrées à des sujets de recherches professionnels une alerte ciblée sur votre nom. Ainsi tous les contenus vous référençant vous seront envoyés directement par e-mail, à la fréquence qui vous convient. 


• Connectez-vous sur http://www.google.com/alerts?hl=fr 

• Vous indiquez vos nom et prénom en thème de recherche et sélectionnez les options de recherche qui vous conviennent. 

Ne négligez pas également les recherches sur les blogs. Le moteur de recherche dédié Google blog search vous permet de limiter les résultats de votre recherche nominative aux seuls blogs. Billets, commentaires, citations de blogueurs professionnels… Rien ne vous échappe.

 Webmii : un diagnostic complet de votre présence en ligne
Avec l’avènement du Web 2.0 axé sur les pratiques communautaires et la participation des internautes aux contenus en ligne, des développeurs ont mis en place des moteurs de recherches de « personne ». Webmii en fait partie et vous propose tous les résultats de recherche associés à vos prénom et nom. Idéal pour effectuer un diagnostic de votre notoriété sur le web. 

En un clic, vous obtenez : 
. Les mots-clés associés à votre personne, 
. La liste des sites web où apparaît votre nom, 
. La liste des billets de blogs où vous êtes cité, 
. La liste des news vous concernant (cette option reprend les alertes Google citées précédemment), 
. Les photos de vous, publiées partout sur la toile, 
. Les coordonnées qui peuvent vous être associées (l’occasion de vérifier que vos numéros de téléphone ou adresses ne sont pas publics…). 


• Connectez-vous sur http://www.webmii.com/
• Indiquez vos prénom et nom dans les champs de recherche pour obtenir la liste des références qui leur sont associées.

Twitter search : votre veille sur Twitter

Ce moteur de recherche dédié à l’outil de micro-bloging Twitter vous permet de trouver très rapidement toutes les publications liées à un sujet ou à votre nom. Et l’outil n’est pas réservé aux utilisateurs de Twitter. En effet, ce n’est pas parce que vous ne « twittez » pas vous-mêmes que vous ne pouvez pas profiter du vivier d’informations partagé par les membres. 

Avec plus de 200 millions d’utilisateurs et près d’1 milliard de messages publiés chaque semaine, Twitter est aujourd’hui un outil de communication parfois plus puissant et plus rapide que la presse. Pour effectuer une veille sur votre nom, indiquez : #votre nom 

Le Hashatgs « #...» est le caractère utilisé par les membres de Twitter pour associer leur contenu à un thème. 
Exemple : dans le message suivant, l’auteur a classé son sujet dans la catégorie « réputation numérique » et « medias sociaux ». #reputation numerique, #medias sociaux, pourquoi et comment relier ses profils sur les réseaux sociauxhttp://bit.ly/gksSeQ 
En tapant ces mots-clés associés au hashtag dans Twitter search, vous obtenez donc une liste de tous les messages comprenant ces mots-clés. 


• Connectez-vous sur : http://search.twitter.com/ 
• Si vous vous appelez Lionel Durant, vous indiquez dans le moteur de recherche : #LDurant ; #LionelDurant ou #Lionel_Durant. Mieux si vous avez un nom d’utilisateur Twitter, vous pouvez l’indiquer directement. 


Pickanews : toute la presse décortiquée en une recherche

Si vous répondez à des interviews ou des questions de journalistes, il y a de fortes chances pour qu’on vous envoie les articles produits. Mais ceux-ci peuvent être repris en partie ou commentés sur le web. Pickanews scrute chaque jour 50 000 sources d’information papiers, numériques et audiovisuelles issues des principaux pays européens (France, Italie, Grande-Bretagne, etc.). Il vous suffit de lancer une recherche sur votre nom pour récupérer en un clic toutes les références presse qui vous concernent. 

Option intéressante, vous pouvez vous créer gratuitement une alerte quotidienne. Plus besoin de vous rendre sur le site, votre sélection d’informations vous arrive directement. Pratique également si vous effectuez une veille sur des noms de marques ou produit, des entreprises en particulier ou des sujets d’actualité. Attention, pour les medias payants, il vous faudra régler le prix des articles que vous souhaitez consulter via Pickanews.



Comment développer votre image sur le web : le succès en 3 étapes

Découvrez comment construire et maîtriser votre image de marque sur le web : dans la profusion de réseaux, sites et d’applications en ligne, de nombreuses solutions sont possibles. Le tout est de rester cohérent et de faire les bons choix en fonction de vos objectifs et de votre disponibilité


Créez votre image : les premières étapes à suivre

Étape 1 : créez-vous un profil 
Pour être identifié sur le web, il vous faut une carte d’identité. Une page dans laquelle apparaîtront vos noms, prénoms, activités, etc. Avant même de créer votre site, de nombreux réseaux sociaux virtuels vous permettent de vous créer un profil. 

Étape 2 : déposez votre nom 

Sans créer véritablement un site web, vous pouvez déposer les « noms de domaine », l’adresse que vous pourriez donner à vos futurs sites ou blogs.
Par exemple : 
- Antoine-Lanion-Conseils.fr
- Conseils-Lanion.com 

Vous n’êtes pas obligé de créer ces sites. Mais en cas de besoin, il est essentiel de « réserver » ces noms de domaines avant que d’autres ne les utilisent ! 

Dans un premier temps, vous pouvez vous créer, avec votre nom de domaine, une simple page web, avec une présentation succincte de vous, de votre activité, de vos expériences. Votre page sera rapidement référencée par les moteurs de recherche et vous pourrez être « trouvé » par les internautes. 


Truc et Astuce : 
Microsoft Office Live Small Business est un service gratuit. Il permet de concevoir très rapidement un site Web professionnel et personnalisé, sans connaissance html préalable. 


Étape 3 : développez votre activité sur le web 

Sans passer trop de temps à produire des contenus spécifiques, vous pouvez déjà commencer à faire entendre votre voix :
- Commentez les blogs proches de vos domaines d’activité, 
- Rejoignez les forums de discussions, les groupes Facebook ou hubs de Viadeo et répondez, 
- Recommandez des articles que d’autres ont écrits et que vous avez particulièrement appréciés. N’hésitez pas à ajouter simplement un commentaire ou une précision sur un point que vous maîtrisez particulièrement.
- Partagez une présentation Power Point, un article ou une vidéo, sur votre profil Facebook,
- Etc. 

Vous serez ainsi petit à petit repéré et identifié ! 

Étape 4 : communiquez ! 

Vous êtes par exemple conseiller RH, spécialisé dans la médiation de conflits en entreprise et vous avez beaucoup à partager sur le sujet ? Pourquoi ne pas vous-même écrire des articles ou créer des présentations pertinentes pour vos clients ou prospects ? Même sans blog ou site, vous pouvez très facilement les communiquer sur le web. 

Les 3 clés de réussite sur le web

• Soyez sincère

« Pour créer son image sur le web, il n’y a rien à inventer explique Fadhila Brahimi, coach et spécialiste du personal branding*. Vous partez de ce que vous êtes, de l’image professionnelle que vous diffusez déjà dans la vraie vie ! » 
Faites le point : « Qui je suis ? Qu’ai-je envie de dire ? De dévoiler ?... » 

• Soyez cohérent

Imaginez, votre profil sur Viadeo indique que vous êtes entrepreneur, créateur d’un cabinet de conseils. Le deuxième lien cité : vous êtes toujours présenté sur copainsd’avant.com, comme salarié. Celui qui lit ces informations éparses sur votre compte, sans savoir quelles sont les plus récentes ne sait que penser. En effet, « L’incohérence entre les références web n’incite pas à la confiance. » conclut la coach.

Précautions à prendre :
- Mettez à jour tous vos profils sur le web, 
- Vérifiez que votre présentation est toujours coordonnée avec les informations que vous avez publiées par ailleurs, 
- Demandez à vos anciens employeurs de remettre à jour leurs organigrammes si ceux-ci n’ont pas été actualisés sur leurs sites web. 

• Créez votre présentation flash web

Dans une soirée réseau, vous utilisez une présentation flash de votre business pour interpeller vos interlocuteurs et les aider à se souvenir de vous ? Faites de même sur la toile ! Créez-vous un paragraphe court résumant votre activité, réutilisable à volonté.

Faites court et efficace ! Celui qui vous lit doit :
- Comprendre clairement ce que vous faites, 
- Se souvenir facilement de vous,
- Avoir envie d’en savoir plus,
- Savoir parler de vous et vous recommander plus facilement. 


* Personal branding : création et développement de votre « marque personnelle », votre image de marque.

7 précautions à respecter pour préserver votre image

Communiquer sur Internet c’est s’exposer. Si la plupart des internautes respectent toutes les règles de la « netiquette », vous n’êtes pas à l’abri de commentaires incongrus qui peuvent détériorer votre image, ou pire, de malveillances ou d’indiscrétions. Sans vous laisser gagner par la parano, des précautions d’usage s’imposent.

Protégez vos données personnelles

1)    Codez vos mots de passe 

Dès que vous créez un mot de passe pour accéder à un site, veillez à en choisir un difficile à décrypter. « Un bon mot de passe est créé de toutes pièces ! » rappelle Fadhila Brahimi. Il comporte à la fois des : 
- Majuscules,
- Minuscules,
- Chiffres,
- Signe.
Astuce : prenez les premières lettres d’une phrase clé ou d’une citation que vous aimez bien.

Exemple : « A cœur vaillant rien d'impossible » et vous obtenez le code « ACVRDI » difficile à reproduire et que vous n’oublierez pas.
Par exemple : SEB-astien49##


2) Différenciez vos pseudos et identifiants

Pour faciliter leur mémorisation, nous avons tendance à utiliser les mêmes termes partout. Un réflexe à éviter. Si notre identifiant était décrypté, le hacker accéderait à tous nos espaces privés sur le web ! Deux règles à retenir :
- Choisissez des pseudos distincts de vos identifiants, 
- D’un site à l’autre, différenciez vos identifiants. Attention, conservez le même « pseudo », c’est votre marque ! 

Pour rappel : 
Pseudo : nom ou surnom que voient les membres du site,
Identifiant : adresse, code ou nom avec lequel vous vous êtes inscrit sur ce site, 
Mot de passe : code qui renforce l’identifiant. 

3) Segmentez vos échanges professionnels et personnels

Il suffit de vous créer des adresses e-mails dédiées. Exemples :
- Adresse e-mail 1 : 
Votre adresse e-mail dédiée au web que vous utilisez comme lien « contact » sur votre site, blog, profil en ligne, etc. 

- Adresse e-mail 2 : 
Votre adresse professionnelle, réservée à vos clients, prospects, partenaires, etc. Évitez de la laisser sur des sites web. C’est le meilleur moyen d’être spammé ! 

4) Ne laissez jamais votre numéro de téléphone…

Il sera toujours temps de le communiquer après un premier échange sur le web ou par e-mail ! 

Préservez votre image

5) Évaluez les profils avec qui vous acceptez une mise en relation 

Sur les sites de mises en relation comme les réseaux sociaux virtuels, les forums, les chats… vous recevez des demandes de mise en relation. Des membres souhaitent faire partie de vos « contacts directs ». Vous faut-il tous les accepter ? « Je n’ai pas de scrupule à refuser certaines demandes, avance Fadhila Brahimi. Je n’accepte que les contacts avec qui je me sens « en affinité » et qui correspondent à mes valeurs ». Elle bloque ainsi des contacts la prenant à partie sur les affrontements à Gaza. « Je suis contre la violence sous toutes ses formes complète-t-elle, même s’il ne s’agit que de mots, je refuse cette attitude agressive ».

6) Sécurisez vos contenus 

Sur Internet le copié/collé est très facile. Si vous publiez des articles ou notes dont vous êtes l’auteur, l’enveloppe SOLO déposée à l’INPI (Institut National de la Protection Intellectuelle) ou un dépôt de vos écrits à la Société des gens de lettres vous permettent de les protéger. En clair, veillez à demander à des plagiaires indélicats de retirer de leurs sites les contenus qu’ils vous ont « emprunté ». Vous pouvez tout simplement leur demander qu’ils citent leur source et qu’ils ajoutent un lien vers votre propre site. 

Pour vérifier que vos contenus ne sont pas copiés, Copyscape

7) Certifiez votre identité numérique 

La « signature numérique » permet d’authentifier l’auteur d’un document numérique. Pour vous en créer une, vous devez utiliser un certificat électronique. 
Attention, ces outils sont encore peu accessibles. Pour utiliser ces certificats, mieux vaut avoir quelques connaissances en développement. 
Exemple de certificat : Clé Yahoo

vendredi 15 avril 2011

7 choses à vérifier avant d'acheter un ordinateur - critères pour acheter un ordinateur

Par L'Impulsion des PME, Partenaire SME Toolkit Bénin & Sénégal


Vous investissez de l’argent dans l’achat d’un ordinateur ? Assurez-vous de ce que vous achetez le bon. Voici les 7 choses essentielles à vérifier avant d’acheter un ordinateur.  La marque d’un ordinateur peut renseigner déjà sur ses performances. Les maisons de marque font de plus en plus l’effort de proposer des ordinateurs adaptés à chaque environnement. C’est ainsi qu’on trouve des marques tropicalisées adaptées à l’environnement ouest africain par exemple.
1.      La marque
 La marque d’un ordinateur peut renseigner déjà sur ses performances. Les maisons de marque font de plus en plus l’effort de proposer des ordinateurs adaptés à chaque environnement. C’est ainsi qu’on trouve des marques tropicalisées adaptées à l’environnement ouest africain par exemple.

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2.      La vitesse du processeur
Elle est déterminante dans la célérité de l’ordinateur. Il en existe plusieurs dont : les pentiums, les celerons, les centrimos et les core 2 duo, les plus en vue aujourd’hui.
3.      Les mémoires
·         La mémoire RAM (Random Access Memory) . C’est la mémoire à court terme de l’ordinateur. Plus cette mémoire est élevée, plus on peut travailler sur plusieurs programmes en même temps.
·         Le disque dur. Il est le deuxième type de mémoire de l’ordinateur, il stocke tous les dossiers sur lesquels on ne travaille pas, tous ceux qui ne sont pas utilisés régulièrement donc toutes les données personnelles y compris les photos et les mails. Plus la capacité d’un disque dur est importante, plus il peut enregistrer des fichiers. A l’heure actuelle, il faut compter une capacité de 80 Go pour utiliser sans problème son ordinateur.
4.      L’écran
Il est un périphérique de sortie qui permet l’affichage des informations à l’usage de l’utilisateur. Il est caractérisé par :
-          la taille, bien souvent exprimée en pouce (un pouce=2,54 cm) et qui fait référence à la diagonale de l’écran.  
-          le format, il en existe plusieurs : 4/3, 5/4, et 16/10
-          la résolution, qui dépend du nombre de pixels différents que l’écran est capable d’enregistrer
-          la connectique qui est soit en DVI, qui est numérique, ou VGA, qui est analogique. Les formes d’écrans les plus utilisées aujourd’hui sont notamment les écrans plats.
5.      La  carte graphique 
Encore appelée carte vidéo, elle est tout aussi importante et mérite qu’on y accorde une attention. Le choix de cette composante dépend véritablement de l’utilisateur et de l’usage auquel il destine son ordinateur. En effet si c’est pour des activités ludiques comme par exemple jouer aux  jeux vidéo, il faudra qu’il  sélectionne une carte très perfectionnée! La carte graphique sert à traiter toutes les images de votre ordinateur et elle dispose de sa mémoire propre donc indépendante de la mémoire vive. Voilà pourquoi il en existe de très nombreux modèles.
6.      Les lecteurs 
On en trouve en version VCD et DVD. Ils sont aussi des composantes importantes de votre ordinateur et méritent d’être bien vérifiés. Si vous achetez un ordinateur au jour d’aujourd’hui, il doit avoir un lecteur DVD avec un graveur CD au moins. 
7.      Les logiciels préinstallés et les antivirus:
A l’achat de son ordinateur, l’utilisateur devra vérifier si le pack logiciel de Microsoft y est bien installé. Il s’assurera également de l’installation d’un antivirus pour la sécurité de son ordinateur. Il sera toujours prudent de vérifier que le vendeur dispose des licences vendeurs de logiciels installés pour ne pas avoir sur son ordinateur des logiciels piratés.
Propos recueillis pas Serge MIGNANWANDE

Créer un journal de classe en ligne avec MADMAGZ EDUCATION


MADMAGZ est un site web de création de magazine en ligne.
Parmi les nouveaux produits qu'il propose il y a MADMAGZ EDUCATION qui permet aux élèves de créer leurs propres magazines pour la classe.
Il peut servir pour un journal de classe ou encore pour tout l'établissement.
Un moyen très facile pour nos élèves de s'essayer à la rédaction de magazine.

Pour en savoir plus, cliquer le lien

Des chercheurs parviennent à faire contrôler un curseur par la pensée, grâce à l'électrocorticographie

Une nouvelle technique, l'électrocorticographie, est actuellement étudiée à l'Université de Saint Louis (USA) pour créer de meilleures "interfaces ordinateur-cerveau".

Jusque là, on utilisait plutôt l'électroencéphalograph (EEG) sous la forme d'un casque équipé d'électrodes, pour diriger par la pensée plusieurs objets, comme un fauteuil roulant par exemple.

Pourtant, cette technique "peu fiable" ne capterait de plus pas toutes les informations émises par le cerveau, car ses capteurs en seraient trop éloignés, selon les chercheurs américains. De quoi louper les fréquences les plus hautes émises par l'organe.

Pour éviter de tels désagrément, les scientifiques ont donc placés leurs capteurs à l'intérieur même du crâne, à la surface du cortex, via une opération chirurgicale où plusieurs électrodes y sont implantées.

En se concentrant sur cette zone dédiée au langage, ils ont pu, sur les quatre patients concernés, faire bouger un curseur sur un écran, par la seule force de la pensée.

Les résultats ont eu un fort taux de réussite. La technique semble fiable, et a permis de bouger le curseur mais aussi d'effectuer des clics. La base à des milliers d'applicatifs informatiques.

La technologie pourrait par exemple être utilisée avec un iPhone pour aider les personnes handicapées dans de nombreuses situations, comme l'évoquent les chercheurs.

Avant cela, ils avaient réussi à faire jouer un "cobaye" à un jeu vidéo (Space Invaders), par la seule volonté de son esprit, via cette technologie (implantée dans une autre zone du cerveau).

Source : Journal of Neuroengineering 

vendredi 8 avril 2011

Comment sécuriser votre connexion Facebook ?

Fraîchement disponible sur votre compte Facebook, la fonction de sécurisation de votre compte n'est pas un luxe. Voyez comment activer cette sécurité indispensable. Cela ne vous prendra que quelques secondes et pourra vous éviter bien des ennuis.


Présent sur de nombreux services en ligne populaires, le protocole de connexion sécurisée https faisait cruellement défaut à Facebook. Le réseau social s’est enfin décidé à offrir cette option et nous allons ici vous montrer comment l’activer.
Si vous n’y comprenez pas grand chose, sachez simplement que la mise en place de cette option va renforcer la sécurité de votre accès au réseau social, et ainsi mettre un peu plus à l’abri vos données personnelles hébergées sur Facebook. Cela ne vous prendra que quelques secondes, alors pourquoi s’en priver ?

Comment sécuriser votre connexion Facebook ?

Comme pour de nombreux réglages sur Facebook, rendez-vous sur l’onglet Compte puis Paramètres du compte.
parametres_compte_facebook
Dans la nouvelle page qui s’ouvre et dans la rubrique intitulée Sécurité du compte, cliquez sur l’option Modifier.
securite_facebook
Une fois dans cette rubrique, cochez simplement la case Utiliser une connexion sécurisée (https) pour Facebook lorsque possible. Si vous ne voyez pas encore cette option, revenez plus tard, elle est encore en cours de déploiement.
securite_compte_facebook
N’oubliez pas de cliquer sur le bouton Enregistrer pour valider ce nouveau paramètre. C’est fait, vos données Facebook sont un peu plus en sécurité.

Tests de connaissances en TIC - MemoClic

Des quiz de tous niveaux pour évaluer de façon ludique ses habiletés et connaissances en multimédia et informatique grand public.
Tester ses connaissances sur l'univers des nouvelles technologies de façon ludique et rapide? C'est ce que propose MemoClic, site internet consacré à l'actualité high tech et mettant en ligne en parallèle une foule d'astuces et de quiz basiques sur des outils que nous utilisons au quotidien.
« Maîtrisez-vous Firefox? Que savez-vous de l'iPad? Nettoyez-vous correctement votre clavier? Quelles sont vos connaissances de Skype? » sont quelques-uns des tests proposés, en passant par des questions sur les réseaux sociaux, les lecteurs musicaux en ligne, l'utilisation des outils Google, etc.
On toruve également quelques quiz qui réfèrent polus directement aux usages, et pas seulement aux compétences techniques. "Calé en langage geek ?", "Netiquette : êtes-vous poli(e) sur le web ?" "Etes-vous prêt pour le Cloud Computing ?" sont quelques exemples de cette série.
Les quiz, en dix questions, se font en moins de cinq minutes et il est bien sûr possible d'afficher les bonnes réponses en parallèle de ses résultats. Une façon amusante et efficace de se tester et de se souvenir des grandes lignes d'une thématique.
Plus de détails Testez-vous ici

Référentiel de compétences TICE pour l'Afrique

Par Tété Enyon Guemadji-Gbedemah

Mise à jour le mardi 5 avril 2011
Créé le mardi 5 avril 2011
Mar Mbodj relate dans un article publié dans la nouvelle revue francophone en ligne, Frantice.net, le processus de modélisation d'un référentiel de compétences TICE intégrant des valeurs spécifiques à l'Afrique et au Nouveau partenariat pour le développement de l'Afrique (NEPAD). Cette entreprise de modélisation s'inscrit dans le cadre de l'initiative des e-Ecoles du NEPAD qui a pour objectif d'assurer aux jeunes africains une éducation qui leur permettra de participer de façon efficace à la société de l'information.

Les e-Ecoles du NEPAD
Une e-école du NEPAD se distingue des écoles classiques, du moins dans leur configuration actuelle en Afrique, en ce qu'elle dispose d'ordinateurs fixes, d'un tableau blanc interactif (TBI), d'un vidéoprojecteur et d'un téléviseur connecté au réseau satellitaire. Le projet E-écoles du NEPAD est prévu pour se dérouler en trois phases, chacune portant déploiement du projet sur 15 à 20 pays du continent.
A terme, environ 600.000 établissements scolaires d'Afrique devraient être touchés par ce projet, au demeurant, très ambitieux. Se financement est assuré sur la base d'un partenariat public-privé dans lequel on trouve au moins cinq grands consortiums des technologies de l'information (Microsoft, HP, Oracle, Cisco et AMD).

Pourquoi un référentiel de compétences TICE pour l'Afrique ?
Tout d'abord parce qu'un cadre de référence d'une telle envergure est inexistant à l'échelle du continent et des pays qui se contentent généralement de recourir à des outils étrangers. La modélisation de ce référentiel se justifie aussi par le fait qu'il y a un besoin d'harmoniser les pratiques d'intégration des TIC dans les systèmes éducatifs africains et de donner des bases communes de travail aux personnels enseignants et aux administrateurs scolaires engagés dans le projet des e-écoles du NEPAD.
En outre, un référentiel de compétences TICE pour l'Afrique, en même temps qu'il comble le vide, doit prendre en compte les spécificités du continent en matière des usages des TIC et s'inscrire dans une vision d'intégration des TIC dans le contexte particulier des systèmes éducatifs africains marqués, d'une part, par le désengagement des Etats et, d'autre part, par l'activisme des acteurs non-gouvernementaux et du secteur privé.
Le référentiel proprement dit
Il a été élaboré à partir de douze produits référentiels existants et en usage en Afrique. Il définit huit grands domaines de compétences pour l'enseignant et douze pour l'apprenant. Les domaines de compétences sont arrimés à un modèle d'intégration progressive des TICE du NEPAD.
L'intérêt de ce dernier outil réside en ce qu'il tient compte de tous les niveaux d'utilisation des TIC, y compris celui de la non-utilisation. Toutefois, on regrettera que la contextualisation annoncée n'ait pas eu lieu. Les concepteurs de cet outil se sont tout simplement bornés à procéder à un travail de fusion-recomposition des référentiels existants.
Les résultats du test des outils le montrent. Seulement 23% des répondants pensent qu'il prend en compte les spécificités africaines et 27% jugent qu'il est suffisamment ancré dans le contexte africain. A chacun d'apprécier s'il fallait réellement sacrifier l'insertion dans le monde globalisé à des particularités continentales.
Télécharger : Typologie des référentiels de compétences TICE en matière de formation des personnels de l’éducation. Une étude de cas : les E‐Ecoles du NEPAD (.pdf)

La vidéo promotionnelle ci-dessous (en anglais) décrit brièvement le projet.
 

Skype, nouvel allié des enseignants

Par Alexandre Roberge

Mise à jour le lundi 4 avril 2011
Créé le dimanche 3 avril 2011
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Parmi les TICE fréquemment utilisées, on cite souvent Internet en premier lieu, puis les outils de partage, blogues et médias sociaux. les applications de communication synchrone et asynchrone viennent derrière. Parmi les plus connues des applications de communication synchrone se trouve Skype, utilisé par des centaines de millions de personnes de par le monde.
Pour stimuler son utilisation dans un cadre éducatif, Skype offre depuis la fin mars 2011 un service de mise en relation d'enseignants et de classes partout dans le monde. Skype in the classroom se veut un point de rencontre international pour les enseignants des Amériques, d’Europe, d’Afrique, d’Asie et d’Océanie.

Communiquer, collaborer, s’inspirer

« Skype in the classroom » peut être utilisé de trois façons différentes.
Collaboration sur projets. Les enseignants se contactent pour partager leur expertise pédagogique, qu’ils usent de la téléconférence ou non. Ainsi, sous l’onglet « Projects », on trouve des centaines de projets (près de 300 à la date du 4 avril 2011) dans différentes langues, pour différents groupes d’âge, niveaux de scolarité, dans de nombreuses disciplines. Certains ne partagent que des liens vers des activités pédagogiques intéressantes, d’autres sont plutôt en développement de projets collaboratifs. Plusieurs enseignants cherchent des correspondants pour discuter en français (langue seconde) avec leurs propres élèves.
Communication entre enseignants. Plus de 8 500 enseignants sont déjà inscrits (gratuitement, à partir d'un simple compte Skype personnel) au service Skype in the classroom. Tout inscrit a accès aux fiches de tous les enseignants et peut ainsi contacter des collègues pour des discussions professionnelles. Ce qui peut marquer le début d'une collaboration plus suivie.
Partage de documents pédagogiques. Les membres peuvent déposer des vidéos, des liens, des documents personnels et voter pour ceux qu'ils préfèrent. De cette manière, ils constitueront une bibliothèque pédagogique mutualisée, accessible gratuitement partout dans le monde. L'espace de dépôt compte déjà près de 400 documents. Conseils, idées, retours sur expériences, on retrouve de tout cela et encore plus sur le site.
La représentante de Skype, Jacqueline Botterill, affirmait à Mashable que Skype voulait, avec cette initiative, éviter que les enseignants ne s’éparpillent sur différentes plateformes sans jamais pouvoir se rencontrer et échanger. Et il semble que ça marche. Le service est encore jeune et il faudra voir s’il résistera à l’épreuve du temps. Mais associé à un outil déjà très connu, simple et gratuit, accessible partout dans le monde, on peut lui prévoir de beaux jours devant lui.
Pour en avoir d'avantages d'informations cliquer Skype in the classroom